Ô Thot, place-moi dans Hermopolis,
ta ville où il est doux de vivre,
tandis que tu me donnes mon nécessaire en pain et bière (...)
Ô grand palmier-doum de soixante coudées
qui porte des noix.
Il y a des noyaux à l'intérieur des noix
et de l'eau à l'intérieur des noyaux.
Ô toi qui emmène l'eau dans un lieu éloigné,
viens et sauve- moi qui suis silencieux.
Thot, ô fontaine douce à l'homme altéré dans le désert,
elle est fermée pour celui qui trouve ses paroles,
mais elle est ouverte pour le silencieux.
Viens le silencieux, il trouve la fontaine.
Prière à Thot, Papyrus de Sallier